Étudiante en Master 2 juriste trilingue, je désirais effectuer mon stage de fin d’études dans un cabinet d’avocats à vocation internationale qui, non seulement me permettrait de me former au métier d’avocat mais aussi d’acquérir des bases solides dans une deuxième langue. C’est pourquoi, lorsque je suis tombée sur l’offre de Mariscal Abogados, je n’ai pas hésité. Ce cabinet idéalement placé au cœur de Madrid dispose d’une équipe de jeunes avocats dynamiques et compétents, ainsi que d’un groupe de stagiaires venant d’horizons différents.
Ce stage a été pour moi très enrichissant tant d’un point de vue professionnel que personnel. Tout d’abord d’un point de vue professionnel, les travaux qui nous sont soumis sont variés et intéressants : j’ai eu la chance de toucher à plusieurs branches du droit espagnol, français et européen et j’ai aussi eu l’opportunité de faire des traductions juridiques qui ont très largement participé à l’amélioration de mon niveau d’espagnol. Ensuite d’un point de vue personnel, l’intégration à une équipe de stagiaires de nationalités et de formations différentes a été très instructive. En effet, il est vrai qu’à mon arrivée, j’appréhendais de devoir travailler avec d’autres stagiaires de peur qu’un climat de compétition s’instaure entre nous. Mais les avocats ont su nous mettre en confiance et nous faire travailler de concert, dans une atmosphère d’entraide. Bien évidemment, cela n’a pas été facile au début, notamment à cause de la langue mais aussi du fait des méthodes de travail qui divergent. Mais travailler ainsi a été très formateur et m’a permis d’acquérir de nouvelles compétences telles que l’écoute, la souplesse, l’adaptation et la socialisation, compétences qui me sont précieuses dans ma vie quotidienne.
Enfin, pour ceux qui travaillent, mais aussi pour ceux qui veulent simplement profiter de la vie madrilène tout en vivant une expérience professionnelle enrichissante, Mariscal possède un autre avantage : celui de proposer des stages à mi-temps. Personnellement, cela m’a été très utile d’avoir mes matinées de libres pour rédiger mon mémoire de stage.
Flore Roshdi
Université de Nantes, France
